Mobilisons-nous pour le dépistage du cancer du col de l’utérus

Le cancer du col de l’utérus touche 3000 femmes et entraîne 1100 décès chaque année en France, il est l’un des seuls dont le pronostic se dégrade dans notre pays. Pourtant, selon l’Organisation Mondiale de la Santé, cette pathologie pourrait être totalement éradiquée grâce à deux interventions efficaces et complémentaires : le dépistage et la vaccination qui prévient les infections à papillomavirus humains (HPV). Grâce à un suivi gynécologique et à un dépistage régulier entre 25 et 65 ans, il peut être détecté tôt, voire évité.

Un dépistage à promouvoir

Le dépistage du cancer du col de l’utérus concerne les femmes de 25 à 65 ans selon les modalités suivantes : Un test (frottis) tous les 3 ans de 25 à 30 ans (après 2 tests négatifs réalisés à 1 an d’intervalle)

Un test (HPV) tous les 5 ans de 30 et 65 ans (3 ans après le dernier frottis négatif)

Pour réaliser le dépistage du cancer du col de l’utérus, les femmes concernées peuvent se rendre auprès de leur sage-femme, gynécologue ou médecin généraliste. À partir du prélèvement effectué, le laboratoire recherche d’éventuelles cellules anormales ou la présence d’HPV.

Malgré un dépistage efficace, sur notre territoire, 40% des femmes concernées ne se font pas ou pas assez régulièrement dépister.

Le dépistage du cancer du col de l’utérus concerne les femmes de 25 à 65 ans selon les modalités suivantes : Un test (frottis) tous les 3 ans de 25 à 30 ans (après 2 tests négatifs réalisés à 1 an d’intervalle)

Un test (HPV) tous les 5 ans de 30 et 65 ans (3 ans après le dernier frottis négatif)

Pour réaliser le dépistage du cancer du col de l’utérus, les femmes concernées peuvent se rendre auprès de leur sage-femme, gynécologue ou médecin généraliste. À partir du prélèvement effectué, le laboratoire recherche d’éventuelles cellules anormales ou la présence d’HPV.

Malgré un dépistage efficace, sur notre territoire, 40% des femmes concernées ne se font pas ou pas assez régulièrement dépister.

 

Le rôle du CRCDC Auvergne-Rhône-Alpes

Les femmes qui n’ont pas réalisé de dépistage dans les intervalles de temps recommandés sont invitées par un courrier du CRCDC (site de l’Isère) à réaliser l’examen. Grâce à cette invitation, les femmes bénéficient d’une prise en charge du test à 100%, sans avance de frais (l’acte de prélèvement est remboursé aux conditions habituelles). Le CRCDC effectuera également le suivi des cas positifs pour assurer une prise en charge complète des personnes dépistées. L’ensemble de ces dispositions visent à faciliter l’accès au dépistage pour toutes les femmes.

 

Pour plus d’informations, contactez Madame Sarah RAHMANI, tél. 04 75 41 25 25 et RDV sur dépistagecanceraura.fr