Prendre soin de soi ? Se sacrifier est-il vraiment un devoir ?

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Dans la continuité de la première capsule sur les aidants, Emmanuel Delessert, propose une seconde parenthèse philosophique interactive autour de la thématique des aidants : le temps pour soi, l’alimentation de la relation d’aide,…

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Aidant : prendre du temps pour soi ? La prise en charge urgente des besoins de l'autre crée un cadre temporel au sein duquel l'aidant peine à dégager des moments pour lui-même...
La noblesse de l'aide : un déclassement des autres préoccupations ? La relation d'aide, par sa qualité, son importance, occupe peu à peu toute la place, au point de reléguer au second plan des préoccupations pourtant essentielles.
Le difficile abandon de la posture : La posture d'aidant est parfois difficile à abandonner, car elle permet de se construire une identité gratifiante à laquelle on ne renonce pas aisément.
Une aspiration à se sacrifier ? La dynamique propre à la relation de don pourrait expliquer à quel point il est important, pour l'aidant, d'aller vers une forme symbolique de sacrifice de soi, afin de rééquilibrer des libertés perturbées par un don "unilatéral", qui fragilise l'autre en même temps qu'il le soutient.
Prendre soin de soi : conclusion